Espèce rare en Picardie car sa présence est difficilement détectable. Quelques données récentes sont à signaler dans l'Aisne. Cependant, dans l'Oise les données de Loir datent de plus de 10 ans.
Le Loir gris fréquente les forêts de feuillus surtout les hêtres, les chênes et les châtaigniers, mais aussi les forêts de conifères, les forêts humides mixtes. Il est également présent dans les vergers et les jardins. On peut donc les retrouver aux abords de nos maisons, parfois même à l’intérieur.
Ils hibernent d'octobre à avril. On peut les retrouver dans les nichoirs ou encore dans la maison (greniers et granges). Il pousse des cris au printemps et en été permettant parfois de les repérer sur les arbres ou toits des maisons.
Préoccupation mineure (LC) en France et non-évalué en Picardie par insuffisance de données (DD). Souvent confondus avec les rats, ils sont victimes des pièges et du poison non-sélectif sur les espèces de micro-mammifères.
Leur installation dans les maisons peut être problématique, c'est pourquoi le bouchage des trous et la mise en place de nichoirs accompagnés d'un peu de nourriture (graines et fruits) dans le jardin permettraient d'éviter le dérangement pour l'Homme.
Souvent confondu avec le
Lérot, le Loir est uniformément gris sur le dos et il est blanc sur le ventre. Il a le contour des yeux très foncé et une queue très longue et touffue.
Glis glis argenteus Zimmermann, 1953
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Glis glis italicus Barrett-Hamilton, 1898
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Glis glis melonii Thomas, 1907
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Glis glis pindicus Ondrias, 1966
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Glis glis pyrenaicus Cabrera, 1908
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Myoxus glis (Linnaeus, 1766)
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Myoxus glis argenteus (Zimmermann, 1953)
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Myoxus glis italicus (Barrett-Hamilton, 1898)
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Myoxus glis melonii (Thomas, 1907)
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Myoxus glis pindicus (Ondrias, 1966)
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Myoxus glis pyrenaicus (Cabrera, 1908)
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Sciurus glis Linnaeus, 1766