Espèce mentionnée il y a une centaine d'année dans la Somme.
Retrouvée en 2011.
Plans d'eau pourvus de végétation aquatique et où le courant est faible ou nul.
Non renseignée pour le moment
Menace potentielle sur les milieux humides adéquates. Ecologie vulnérable aux perturbations, ses constructions submergées en formes de cloches demandant un effort énergétique très important, surtout aux femelles.
Reconnaissance.
Mesure de 8 à 15 mm parfois jusqu'à 20 mm. Aucuns motifs. Mature toute l'année. Elle évolue dans l'obscurité et deux des huit yeux minuscules sont réfringents. Les pattes "tâtonnent" lors des déplacement hors d'eau et sont d'un marron sombre à noir et assez luisantes. Elle recherche systématiquement à plonger. Elle s'accroche fortement aux herbier en se ramassant sur elle-même passant alors très facilement inaperçue car
de coloration semblable à la tourbe. Recueillir des amas d’herbiers à l'aide d'une passoire et étaler le tout sur un support claire puis attendre un peu afin d’observer d’éventuels mouvements. Se munir d’un petit pot rempli d’eau, y placer l’araignée, une petite bulle d'air plutôt discrète se forme sur le dos de l’abdomen ; en absence de support elle se positionne sur le dos face ventrale exposée, si présence d’un support dans le pot elle cherchera à s’y accrocher.
L'Argyronette aquatique semble en France très localisée et vulnérable (provisoire).
Pas de mesure de conservation officielle à ce jour.
Non renseignée pour le moment
Araneus aquaticus Clerck, 1758
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